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From 2018 to 2019 Burfina Faso organised 6 CMTs part of the Zika project
Le Burkina Faso a réalisé plusieurs activités au cours de l'année 2018 et de l'année 2019. Ces activités ont concerné principalement les formations Zika qui ont été faites dans six régions du Burkina à savoir Ouagadougou, Kaya, Fada, Bobo Dioulasso, une deuxième formation à Ouagadougou, et enfin Koudougou. Au total 110 personnes ont été formées.
I°) Les trois premières formations CMTs réalisées en 2018 (Ouagadougou le 10/10/2018, Kaya le 23/10/2018 et Fada le 5/11/2018)
Le premier atelier Zika au Burkina Faso a eu lieu à Ouagadougou le 10 octobre 2018 dans les locaux du Centre National de Recherche et de Formation en Paludisme( CNRFP).Lors de cette formation 23 personnes ont été formées. La deuxième a eu lieu à Kaya au centre Nord du pays, le 23 novembre 2018 au sein de la Mairie de la ville. Nous avons invité et formé 20 personnes. La troisième formation s'est tenue à Fada à l'Est du Burkina Faso, le 5 novembre 2018 à la Mairie de la commune et 18 personnes y ont été formées. Tous ces ateliers ont regroupé des participants venant des Mairies, de la Santé, de l'environnement, du monde communautaire, du monde de la communication et enfin du monde scolaire. A Ouagadougou, le milieu scolaire était représenté par 4 élèves et 2 Professeurs du Lycée Scientifique National de Ouagadougou.
A Kaya, le monde de l'éducation a été représenté par le Lycée provincial, le Lycée municipal et l'Université de la dite ville. Quant à Fada, ce sont les Lycée provincial, communal et privé Sabil El Negah qui ont représenté le Ministère de l'éducation. Ajoutons que tous les établissements des régions cités plus haut se sont faits représenter par 2 élèves et 2 Professeurs chacun. Tous ces ateliers ont été animés par trois formateurs qui sont Mr Jean Paul BOUMBOUNDI(Coordonnateur), Mr Soumanaba ZONGO ( Coordonnateur adjoint) et Mr Antoine SANOU( Chercheur, Biologiste, que nous avons associé pour donner des communications sur les moustiques et les larves dont il est spécialiste).
Les participants ont suivi l'atelier avec intérêt et disent avoir été édifiés par les formations qu'ils ont reçues. Ils ont promis d'être à l'avant garde de la lutte contre les agents vecteurs de maladies dès leur retour dans leur milieu.
Les difficultés rencontrées pour organiser ces ateliers sont nombreuses: Insuffisance de moyens financiers, les longues distances entre Ouagadougou et les régions, les difficultés de mobilisation des participants surtout en vacance. Mais la plus grande difficulté a été l'inexistence ou l'instabilité de l'internet. A Kaya et Fada, les coupures d'électricité et d'internet nous ont joué de vilains tours. Nous avons néanmoins pu nous sortir de ces difficultés
II°) Les trois dernières formations réalisées en 2019( Bobo Dioulasso le 14/9/2019, Ouagadougou le 23/9/2019, Koudougou le 28/9/2019)
En 2019, nous avons réalisé trois CMTs .Pour ces formations restantes, nous avons dû changer de stratégie en nous interessant seulement aux écoles c'est à dire les élèves, les étudiants et les professeurs. Notre choix s'explique par le fait que les autres travailleurs que nous avions associés pour les formations de 2018 restaient totalement inactifs après les ateliers parce que, disent-ils, il leur manque le temps. Seuls les élèves, étudiants et Professeurs ont été très actifs et ont pu envoyer des données.
La première a eu lieu à Bobo Dioulasso à l'Ouest du pays à 363 kms de Ouagadougou. C'est le Lycée Municipal Mollo Sanou qui nous a accueilli. Là bas, nous avons réuni trois Lycées composés de dix élèves, de cinq Professeurs et le Proviseur du Lycée Scientifique National de Bobo, soit un total de 16 participants. Les trois Lycées sont :le Lycée scientifique national de Bobo(3 élèves, 3 Professeurs et le Proviseur), le Lycée provincial Mollo Sanou(2 élèves, 2 Professeurs) et enfin le Lycée Ouézzin Coulibaly( 3 élèves et 2 Professeurs).
La deuxième formation s'est déroulée en 2019 une fois encore à Ouagadougou. Trois écoles ont été invitées. Les participants ont été au nombre de 17 répartis comme suit :Lycée Nelson Mandela( 3 élèves et 3 Professeurs), le Lycée Bogodogo( 3 élèves et 1 Professeur) et enfin le Lycée Scientifique National de Ouaga( 6 élèves et 1 Professeur)
Enfin, le dernier atelier s'est tenu le 28 septembre à Koudougou, ville située à 100 Kms au Centre Ouest du Pays. 16 participants ont été regroupés et venant du Lycée Municipal( 3 élèves et 1 Professeur), du Lycée de l'Amitié( 2 élèves et 1 Professeur), du Lycée Communal( 3 élèves et 1 Professeur) et le Lycée Provincial( 3 élèves et 2 Professeurs)
Ces derniers ateliers ont été animés par deux formateurs qui sont Mr Jean Paul BOUMBOUNDI(Coordonnateur), Mr Soumanaba ZONGO( Coordonnateur adjoint) car Mr Antoine SANOU était en mission hors du pays. Son module a été présenté par Mr Soumanaba. Les participants ont encore suivi l'atelier avec intérêt et disent avoir été édifiés par les formations qu'ils ont reçues. Ils ont pris aussi l'engagement de lutter activement contre les agents vecteurs de maladies vectorielles dès leur retour dans leurs milieux respectifs.
Les difficultés rencontrées pour organiser ces ateliers sont nombreuses et ont pour noms : Insuffisance de moyens financiers, les longues distances entre Ouagadougou et les régions, les difficultés de mobilisation des participants surtout en vacance. Mais la plus grande difficulté a été l'inexistence ou l'instabilité de l'internet. A Koudougou, l' instabilité de l'internet a perturbé notre travail mais nous avons pu terminer notre session.
Les élèves du Lycée National scientifique de Ouagadougou s'initient au Protocole Moustique de GLOBE
GLOBE Burkina Faso a accompagné l'organisation d'une journée scientifique Lycée Scientifique National de Ouagadougou le samedi 26 octobre 2019 à Ouagadougou.
L'objectif de cette journée était d'échanger et de fraterniser entre membres de la communauté GLOBE du Lycée. Il s'agissait aussi et surtout de pratiquer le dernier né des protocoles de GLOBE, le protocole moustique.
En effet les 15 élèves et leurs encadreurs ont eu l'opportunité de collecter des larves, de les analyser et de les envoyer dans la base de données de GLOBE.
Chaque participant a pu envoyer plusieurs données.
La journée s'est terminée dans une bonne ambiance.